dimanche 13 mai 2007
Jacob raconte
LES HISTOIRES DE LA GOULETTE
Monsieur Lévi à Pékin...
Un jour, Monsieur Lévi de la Goulette, grand intellectuel devant l’éternel décide de se rendre à Pékin pour ses quinze jours de vacances .
Il se rend dans la première agence de voyage (chez madame Berrebi - de Barraka) entre et annonce : « Bonjour, je suis Lévi de la Goulette, je viens prendre un billet pour Pékin… »
Devant l’air ébahi de l’assistante commerciale, il rajoute « Pékin, en chine populaire… »
La jeune fille lui dit : nous n’avons pas de vol direct monsieur Lévi si vous voulez on vous assure un transport jusqu’à Marseille et de là vous vous débrouillez..
Voilà notre brave monsieur Lévi débarquant à Marseille, il entre dans une agence de voyage et annonce : Bonjour, je suis Lévi de la goulette, je voudrai aller à Pékin…
Désolé lui répond un commercial nous pourrons vous conduire à viennes et de là vous vous débrouillez..
Arrivé à Viennes, il se rend dans une agence de voyage pour prendre un billet pour Pékin…
À l’agence, on lui propose de le conduire à Moscou et de là…
Arrivé à Moscou, il annonce à l’agence que lui Lévi de la Goulette désire se rendre à Pékin.
Lorsqu’il arrive enfin à Pékin après une dernière escale à Oulan-Bator, il ne lui reste plus qu’une journée de vacance… à la fin de laquelle, il se rend dans une agence où il annonce : bonjour, je suis monsieur Lévi de la Goulette, je suis épuisé, je voudrai rentrer chez moi…
Et là on lui demande dans un accent on ne peut plus pékinois : Goulette Neuve, Goulette Vieille, Goulette casino?…
Le miroir...
Ça y est je crois que nous tenons à la goulette le rabbin le plus génial de la création… il fallait bien que celui-ci soit de la goulette!
Shabbat dernier, alors que les fidèles quittaient la synagogue à la fin de l’office, il demande à Monsieur Marc A. (l’un des personnage les plus riche de notre petite communauté) de le rejoindre pour avoir avec lui un petit entretien.
Il faut reconnaître que Monsieur Marc A. se fait souvent (pour ne pas dire toujours) remarqué lors de l’office en faisant des commentaires assassins et peu cavaliers lorsque le rabbin invite les fidèles à « monter » à la Thora.
Personne ne trouve grâce à ses yeux… à en croire ce monsieur, notre communauté est composée de voyous, de voleurs, de bandits de grands chemins, d’avares et j’en passe.
À chaque fois que l’un des fidèles fait un don, Monsieur Marc A. s’autorise à crier « c’est tout ? Avec tous les millions qu’il a… »
Ce jour là, notre rabbin avait invité Marc A. à lire la Thora. À la fin de sa lecture, notre « ami » a fait un don de 26 dinars…
À la fin de l’office, le rabbin s’isole donc avec Marc A. et lui montre une fenêtre vitrée donnant sur la rue, et lui dit :
- qu’est-ce que vous voyez?
- une fenêtre, des gens qui passent, des voiture des tas de choses…
Puis le rabbin, désigne un miroir et dit :
- et là, qu’est-ce que vous voyez?
- Je ne vois que moi…où est le problème?
- le problème est justement là dit le rabbin, il suffit de recouvrir la vitre d’une pellicule d’argent et vous ne voyez plus les autres, vous ne voyez plus que vous-même…
La Maman
David a invité sa mère à dîner.Pendant le repas, sa mère ne peut s'empêcher de remarquer que Julie, la personne avec qui son fils partage l’appartement, est extrêmement belle. Pendant la soirée, alors qu'elle observe la façon dont David et Julie se comportent l'un envers l'autre, elle se demande s'il n'y a pas quelque chose de plus entre eux que le simple partage d'un appartement.David, devinant les pensées de sa mère, lui dit : " Je sais ce que tu es en train de penser mais je t'assure que Julie et moi ne faisons que partager l’appartement "Environ une semaine plus tard, Julie dit à David : " Depuis que ta mère est venue dîner, je ne trouve plus la louche d'argent. Est-il possible qu'elle l'aie prise ? "David lui répond : -" Je ne pense pas, mais je vais lui envoyer un mail pour en être sûr."" Chère Maman, Je ne dis pas que tu as pris la louche et je ne dis pas que tu n'as pas pris la louche, mais il n'en reste pas moins vrai que la louche a disparu depuis que tu es venue dîner.Bisous, David "Quelques jours plus tard, David reçoit la réponse de sa mère :"Cher David, je ne dis pas que tu couches avec Julie et je ne dis pas que tu ne couches pas avec Julie. Mais il n'en reste pas moins vrai que si Julie dormait dans son lit, elle aurait trouvé la louche depuis longtemps.Bisous, Maman "
Le Rabbin et le Chercheur
J’ai constater que j’avais assez peu parler de ceux qui à l’image des carrés de résistance des guerres napoléonienne, n’ont jamais quitté cette terre, qui par leur simple présence, constituent encore, mais pour combien de temps? La mémoire juive du pays de la kahéna, de rebbi hai taïeb lo met ou de la ghriba de djerba.
Combien sont-ils et qui sont-ils, que font-ils et qu’attendent ils, qu’espèrent ils et comment vivent ils ? À toutes ces questions, il est assez simple de répondre soit en consultant les livres de dons de la communauté, en allant jetter un coup d’œil sur l’état des ventes de pain azyme lors de la Pâques.
La communauté juive de Tunisie qui ne compte aujourd’hui plus de 1400 âmes environ (c’est vous dire ma fierté de compter parmi cette minorité) est partagée entre deux pôles essentiel : Djerba et le grand Tunis . Certes, sfax, sousse, Nabeul et d’autres villes comptent encore quelques individus mais doit on parler de la minorité de la minorité ?
A Djerba il y a des familles, dans le grand Tunis, il y a des noms patronymiques et la famille prend un sens strictement mono nucléique.
Alors compte tenu de la situation, pour certains tuns, vivant en diaspora, l’heure de réagir est arrivé… Il y a péril en la demeure. La mémoire juive de Tunisie, la plus ancienne mémoire du pays risque t elle de disparaître ?
Alors de temps en temps, des émissaires de ces communautés juives tuns viennent nous rendre visite essayant de collecter des livres, des documents, des parchemins pour les emporter sous d’autres cieux.
La semaine dernière, un homme est arrivé à Tunis, portant veste longue noire, longue barbe blanche et chapeau à large bord. Il a sollicité une entrevue de notre grand rabbin (eh oui on en a encore un!) au cours de cette entrevue, il a exprimé à notre représentant le désir de trouver des livres anciens…
- et pourquoi cherches tu de tels livres ? demande le rabbin
- Parce qu’il faut les faire sortir de Tunis pour les protéger
- Ah oui, il ne seraient pas en sécurité ici ?
- pas seulement, mais vous savez, il y a des gens qui recherchent ce genre de livre à travers le monde
- et pourquoi ?
- parce qu’ils aiment ces livres
- ah oui je vois…
- Et ils sont prêts à payer cher pour les avoir
- et pourquoi cherchent ils à les avoir ?
- pour les conserver, pour les consulter, pour y faire attention, parce qu’ils les aiment…
- Alors je vais te dire quelque chose, vois tu nous aussi nous aimons ces livres, nous aussi nous aimons les consulter, nous aussi nous y faisons attention, nous aussi nous savons les conserver tout comme les gens que tu représentes, la seul chose qui nous différencie de ces gens, c’est que ces livre sont déjà à nous et nous continuerons à y faire attention…
Cons, on veut bien mais pas à ce point…
Le bey, la mère et le prisonnier…
Cette histoire ce passe à l’époque du Bey en Tunisie…
Un pauvre malheureux qui passer tous les jours devant le palais beycal somptueux décida un jour d’escalader les murs,trop attiré qu’il fut par les vergers en fleurs.
Surpris par les gardes avec quelques figues à la main, en le jetta directement en prison !
Il fut juger pour ce larcin et ont décida tout bonnement de lui trancher la tête en place publique !
Au jour « J » le voilà escorter par les gardes devant des milliers de badauds entassés en place centrale de la ville.
Tous les ministres étaient rassemblés autour du Bey assis en haut d’une immense estrade…
La maman du pauvre hurler sa détresse et disait:« Mon fils ! Mon fils à qui vas-tu laisser des oiseaux ? »
Prés de là une femme ravissante laisser apparaître quelques nudités, le pauvre comdané la fixa quelques instants du regard et se mis à bander comme un âne…
Soudain il se mit à éclater de rire! Devant tant d’exubérance, le Bey ordonna qu’on lui emmène le prisonnier en tête à tête !
« Dis moi toi misérable on s’apprête à te trancher la tête et voila que tu laisse éclater ta joie ! »
Si tu me dis la vrai raison et qu’elle trouve grâce à mes yeux alors peut-être auras-tu la vie sauve,chien que tu es !
Oh Mon seigneur ! Je ne veut pas vous offenser répond le malheureux tout tremblotant: « Ton esprit, celui de ma pauvre mère et celui de ma queue est le même »
« Ah bon et comment ça? Vulgaire » s’exclame le Bey
« Vous mon seigneur, pour quelques figues pourries jonchées sur le sol de votre verger vous décider de me ôter la tête, ma mère quant à elle au lieu de penser à son fils s’inquiète de mes oiseaux et ma queue, au lieu de songer à ce qui va m’arriver dans quelques instants, s’excite au regard d’une femme ! »
C’est pourquoi : « Ak lêk ou akêl oumi oukêl Zébie kif kif ! »
Qu’ont le libère ce chien !
Y.L
Monsieur Lévi à Pékin...
Un jour, Monsieur Lévi de la Goulette, grand intellectuel devant l’éternel décide de se rendre à Pékin pour ses quinze jours de vacances .
Il se rend dans la première agence de voyage (chez madame Berrebi - de Barraka) entre et annonce : « Bonjour, je suis Lévi de la Goulette, je viens prendre un billet pour Pékin… »
Devant l’air ébahi de l’assistante commerciale, il rajoute « Pékin, en chine populaire… »
La jeune fille lui dit : nous n’avons pas de vol direct monsieur Lévi si vous voulez on vous assure un transport jusqu’à Marseille et de là vous vous débrouillez..
Voilà notre brave monsieur Lévi débarquant à Marseille, il entre dans une agence de voyage et annonce : Bonjour, je suis Lévi de la goulette, je voudrai aller à Pékin…
Désolé lui répond un commercial nous pourrons vous conduire à viennes et de là vous vous débrouillez..
Arrivé à Viennes, il se rend dans une agence de voyage pour prendre un billet pour Pékin…
À l’agence, on lui propose de le conduire à Moscou et de là…
Arrivé à Moscou, il annonce à l’agence que lui Lévi de la Goulette désire se rendre à Pékin.
Lorsqu’il arrive enfin à Pékin après une dernière escale à Oulan-Bator, il ne lui reste plus qu’une journée de vacance… à la fin de laquelle, il se rend dans une agence où il annonce : bonjour, je suis monsieur Lévi de la Goulette, je suis épuisé, je voudrai rentrer chez moi…
Et là on lui demande dans un accent on ne peut plus pékinois : Goulette Neuve, Goulette Vieille, Goulette casino?…
Le miroir...
Ça y est je crois que nous tenons à la goulette le rabbin le plus génial de la création… il fallait bien que celui-ci soit de la goulette!
Shabbat dernier, alors que les fidèles quittaient la synagogue à la fin de l’office, il demande à Monsieur Marc A. (l’un des personnage les plus riche de notre petite communauté) de le rejoindre pour avoir avec lui un petit entretien.
Il faut reconnaître que Monsieur Marc A. se fait souvent (pour ne pas dire toujours) remarqué lors de l’office en faisant des commentaires assassins et peu cavaliers lorsque le rabbin invite les fidèles à « monter » à la Thora.
Personne ne trouve grâce à ses yeux… à en croire ce monsieur, notre communauté est composée de voyous, de voleurs, de bandits de grands chemins, d’avares et j’en passe.
À chaque fois que l’un des fidèles fait un don, Monsieur Marc A. s’autorise à crier « c’est tout ? Avec tous les millions qu’il a… »
Ce jour là, notre rabbin avait invité Marc A. à lire la Thora. À la fin de sa lecture, notre « ami » a fait un don de 26 dinars…
À la fin de l’office, le rabbin s’isole donc avec Marc A. et lui montre une fenêtre vitrée donnant sur la rue, et lui dit :
- qu’est-ce que vous voyez?
- une fenêtre, des gens qui passent, des voiture des tas de choses…
Puis le rabbin, désigne un miroir et dit :
- et là, qu’est-ce que vous voyez?
- Je ne vois que moi…où est le problème?
- le problème est justement là dit le rabbin, il suffit de recouvrir la vitre d’une pellicule d’argent et vous ne voyez plus les autres, vous ne voyez plus que vous-même…
La Maman
David a invité sa mère à dîner.Pendant le repas, sa mère ne peut s'empêcher de remarquer que Julie, la personne avec qui son fils partage l’appartement, est extrêmement belle. Pendant la soirée, alors qu'elle observe la façon dont David et Julie se comportent l'un envers l'autre, elle se demande s'il n'y a pas quelque chose de plus entre eux que le simple partage d'un appartement.David, devinant les pensées de sa mère, lui dit : " Je sais ce que tu es en train de penser mais je t'assure que Julie et moi ne faisons que partager l’appartement "Environ une semaine plus tard, Julie dit à David : " Depuis que ta mère est venue dîner, je ne trouve plus la louche d'argent. Est-il possible qu'elle l'aie prise ? "David lui répond : -" Je ne pense pas, mais je vais lui envoyer un mail pour en être sûr."" Chère Maman, Je ne dis pas que tu as pris la louche et je ne dis pas que tu n'as pas pris la louche, mais il n'en reste pas moins vrai que la louche a disparu depuis que tu es venue dîner.Bisous, David "Quelques jours plus tard, David reçoit la réponse de sa mère :"Cher David, je ne dis pas que tu couches avec Julie et je ne dis pas que tu ne couches pas avec Julie. Mais il n'en reste pas moins vrai que si Julie dormait dans son lit, elle aurait trouvé la louche depuis longtemps.Bisous, Maman "
Le Rabbin et le Chercheur
J’ai constater que j’avais assez peu parler de ceux qui à l’image des carrés de résistance des guerres napoléonienne, n’ont jamais quitté cette terre, qui par leur simple présence, constituent encore, mais pour combien de temps? La mémoire juive du pays de la kahéna, de rebbi hai taïeb lo met ou de la ghriba de djerba.
Combien sont-ils et qui sont-ils, que font-ils et qu’attendent ils, qu’espèrent ils et comment vivent ils ? À toutes ces questions, il est assez simple de répondre soit en consultant les livres de dons de la communauté, en allant jetter un coup d’œil sur l’état des ventes de pain azyme lors de la Pâques.
La communauté juive de Tunisie qui ne compte aujourd’hui plus de 1400 âmes environ (c’est vous dire ma fierté de compter parmi cette minorité) est partagée entre deux pôles essentiel : Djerba et le grand Tunis . Certes, sfax, sousse, Nabeul et d’autres villes comptent encore quelques individus mais doit on parler de la minorité de la minorité ?
A Djerba il y a des familles, dans le grand Tunis, il y a des noms patronymiques et la famille prend un sens strictement mono nucléique.
Alors compte tenu de la situation, pour certains tuns, vivant en diaspora, l’heure de réagir est arrivé… Il y a péril en la demeure. La mémoire juive de Tunisie, la plus ancienne mémoire du pays risque t elle de disparaître ?
Alors de temps en temps, des émissaires de ces communautés juives tuns viennent nous rendre visite essayant de collecter des livres, des documents, des parchemins pour les emporter sous d’autres cieux.
La semaine dernière, un homme est arrivé à Tunis, portant veste longue noire, longue barbe blanche et chapeau à large bord. Il a sollicité une entrevue de notre grand rabbin (eh oui on en a encore un!) au cours de cette entrevue, il a exprimé à notre représentant le désir de trouver des livres anciens…
- et pourquoi cherches tu de tels livres ? demande le rabbin
- Parce qu’il faut les faire sortir de Tunis pour les protéger
- Ah oui, il ne seraient pas en sécurité ici ?
- pas seulement, mais vous savez, il y a des gens qui recherchent ce genre de livre à travers le monde
- et pourquoi ?
- parce qu’ils aiment ces livres
- ah oui je vois…
- Et ils sont prêts à payer cher pour les avoir
- et pourquoi cherchent ils à les avoir ?
- pour les conserver, pour les consulter, pour y faire attention, parce qu’ils les aiment…
- Alors je vais te dire quelque chose, vois tu nous aussi nous aimons ces livres, nous aussi nous aimons les consulter, nous aussi nous y faisons attention, nous aussi nous savons les conserver tout comme les gens que tu représentes, la seul chose qui nous différencie de ces gens, c’est que ces livre sont déjà à nous et nous continuerons à y faire attention…
Cons, on veut bien mais pas à ce point…
Le bey, la mère et le prisonnier…
Cette histoire ce passe à l’époque du Bey en Tunisie…
Un pauvre malheureux qui passer tous les jours devant le palais beycal somptueux décida un jour d’escalader les murs,trop attiré qu’il fut par les vergers en fleurs.
Surpris par les gardes avec quelques figues à la main, en le jetta directement en prison !
Il fut juger pour ce larcin et ont décida tout bonnement de lui trancher la tête en place publique !
Au jour « J » le voilà escorter par les gardes devant des milliers de badauds entassés en place centrale de la ville.
Tous les ministres étaient rassemblés autour du Bey assis en haut d’une immense estrade…
La maman du pauvre hurler sa détresse et disait:« Mon fils ! Mon fils à qui vas-tu laisser des oiseaux ? »
Prés de là une femme ravissante laisser apparaître quelques nudités, le pauvre comdané la fixa quelques instants du regard et se mis à bander comme un âne…
Soudain il se mit à éclater de rire! Devant tant d’exubérance, le Bey ordonna qu’on lui emmène le prisonnier en tête à tête !
« Dis moi toi misérable on s’apprête à te trancher la tête et voila que tu laisse éclater ta joie ! »
Si tu me dis la vrai raison et qu’elle trouve grâce à mes yeux alors peut-être auras-tu la vie sauve,chien que tu es !
Oh Mon seigneur ! Je ne veut pas vous offenser répond le malheureux tout tremblotant: « Ton esprit, celui de ma pauvre mère et celui de ma queue est le même »
« Ah bon et comment ça? Vulgaire » s’exclame le Bey
« Vous mon seigneur, pour quelques figues pourries jonchées sur le sol de votre verger vous décider de me ôter la tête, ma mère quant à elle au lieu de penser à son fils s’inquiète de mes oiseaux et ma queue, au lieu de songer à ce qui va m’arriver dans quelques instants, s’excite au regard d’une femme ! »
C’est pourquoi : « Ak lêk ou akêl oumi oukêl Zébie kif kif ! »
Qu’ont le libère ce chien !
Y.L
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1 commentaire:
BRAVO POUR VOTRE HUMOUR
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